Hors série - Tête à tête improvisé

EPISODE
Tête à tête improvisé
SERIE
Hors-série
RESUME
Une image qui titille son imagination, et le voila qui vient me rendre une visite impromptue à mon bureau. Une envie folle de me donner du plaisir avec sa langue. Un moment intense à l'abri des regards. Une parenthèse sensuelle plus que bienvenue dans ma journée de travail.
LIEN D'ECOUTE
https://soundcloud.com/user-474478645-453841455/hors-serie-1-tete-a-tete-improvise-1
DUREE: 8'44
ON DEBUNK :
→ les détails qui font du bien à ta sexualité
- Ils sont très heureux de se voir, il y a une grande complicité et beaucoup de respect entre eux
- Au lieu des habituels nudes, elle lui a envoyé une photo d’elle habillée qui lui a fait autant d’effet à lui. Elle de son côté, s’est sentie empouvoirée par cet envoi “C’est vrai que moi aussi je m’étais sentie particulièrement désirable et puissante ce matin dans cette jolie robe qui mettait mes formes en valeur.” Aussi, on parle de “mettre ses formes en valeur” donc on évite de décrire un corps mince en laissant ouvert toutes les morphologies possibles.
- “« mais, elle est où la chantilly? ». Là tu me réponds que nous n’en avons pas besoin, car tu préfères mon goût.”Cette phrase est super importante car il est important de parler de cela: la vulve a un gout, une odeur, une texture, c’est normal et il n’y a pas à faire culpabiliser les personnes à vulve la dessus (ni a essayer de leur vendre du parfum et autres produits de nettoyage). Et j’insiste d’ailleurs à ce sujet avec “Je ne me souviens pas que quiconque m’ait déjà parlé de mon goût, certains de mes amants ayant même plutôt délibérément évité le sujet.”
- il y a beaucoup de tendresse entre eux, il est beaucoup question de câlins et baisers… “Tu me soulèves légèrement pour m’asseoir sur mon bureau, tandis que je mets mes bras autour de ton cou pour te garder tout contre moi et prolonger ce baiser.”
- On normalise aussi les petits couacs comme la robe qui la gène “Mais ma robe entrave mes mouvements. Tu me fais donc redescendre une seconde le temps de la soulever jusqu’en haut de ma culotte, avant de me rasseoir sur le bureau.”
- La progression de leurs carseeses se fait lentement et on sent le désir monter
- Un petit détail pour préciser qu’il est toujours bon de lubrifier un peu “tu les mets ensuite dans ta bouche et les ressors plein de salive pour les remettre sur ma chatte. C’est encore meilleur comme ça.”
- Elle n’hésite pas à le guider dans ses mouvements et il le prend très bien “je te demande de reprendre ce que tu faisais juste avant. Tu me souris, satisfait de m’exciter autant juste avec ta langue.”
- Il ne s’occupe que de son plaisir et ne demande rien, il n’est venu que pour ça → on normalise 2 choses: le sexe oral en tant que sexe à part entière et le fait de prendre du plaisir juste en en donnant à l’autre.
LA PUNCHLINE :
Tu ressors ta main une seconde, passe tes doigts entre nos lèvres. Nous interrompons momentanément nos baisers le temps que je suce tes doigts
Mon souffle devient plus court quand tu glisses ta main à l’intérieur de ma culotte. J’écarte un peu plus les jambes et me rapproche du bord du bureau.
TEXTE
En levant la tête de mes dossiers, je t’aperçois par la fenêtre de mon bureau. Tu t’approches d’un pas décidé. Aussitôt je me mets à sourire. Je dois dire que c’est une belle surprise de te voir débarquer. Ton visage affiche un large sourire également et tes yeux pétillent. Je vais ouvrir la porte pour t’accueillir et te fais rentrer rapidement pour éviter les regards curieux dans l’open space. J’ai vraiment de la chance d’avoir un bureau fermé rien que pour moi. Tu connais ma discrétion et tu attends que je baisse les stores avant de venir m’embrasser tendrement sur la bouche, en me serrant dans tes bras.
« Qu’est-ce qui t’amène jusqu’ici en pleine journée ? » je te demande. Là je lis dans ton regard que tu cherches une excuse, mais tu te contentes de me dire qu’il n’y a aucune raison particulière. Tu me dis que tu avais juste très envie de me voir, parce que tu m’avais trouvée très jolie dans ma robe sur la photo que je t’avais envoyée ce matin avant de partir. C’est vrai que moi aussi je m’étais sentie particulièrement désirable et puissante ce matin dans cette jolie robe qui mettait mes formes en valeur. Du coup j’avais voulu partager ça avec toi et t’avais envoyé mon plus beau selfie dans le miroir de l’entrée. Tu avais répondu avec 3 smileys avec des cœurs dans les yeux. Et si j’étais déjà très contente du petit effet produit par ma photo ce matin, je le suis encore plus de savoir que ça t’a fait venir jusqu’ici pour un petit tête-à-tête improvisé dans mon bureau.
Tu as fini par lâcher le morceau quand j’ai remarqué ton sac de courses et m’as avoué ce qui t’avais fait venir. Tu me racontes tes courses rapides et ton passage dans un rayon qui t’a fait t’arrêter sur une bombe de chantilly, la photo de fraise bien rouge dégoulinante de crème et comment cette image t’avait mené à mon bureau, pourtant à l’autre bout de la ville. Amusée, je jette alors un rapide coup d’œil dans ton sac et te lance, un peu déçue : « mais, elle est où la chantilly? ». Là tu me réponds que nous n’en avons pas besoin, car tu préfères mon goût. Cette idée suffit à me mettre l’eau à la bouche. Tu as le don pour exprimer ton désir de façon tellement belle. Je ne me souviens pas que quiconque m’ait déjà parlé de mon goût, certains de mes amants ayant même plutôt délibérément évité le sujet.
Tu me sors de mes pensées en t’approchant à nouveau de moi, me faisant reculer contre le bureau, tes bras enserrent ma taille et ta bouche cherche de nouveau la mienne. Nos langues s’entremêlent. Tu me soulèves légèrement pour m’asseoir sur mon bureau, tandis que je mets mes bras autour de ton cou pour te garder tout contre moi et prolonger ce baiser. Tu mets tes mains sur mes fesses, me caresses au passage par-dessus ma robe, et tu m’amènes à toi. Mais ma robe entrave mes mouvements. Tu me fais donc redescendre une seconde le temps de la soulever jusqu’en haut de ma culotte, avant de me rasseoir sur le bureau.
Je peux enfin écarter mes jambes, que je referme derrière toi comme pour te maintenir prisonnier. Tes mains remontent le long de mes cuisses et s’arrêtent sur mes fesses. Tu les glisses sous le bout de tissu de ma culotte pour les promener sur ma peau. Tu pétries chacune de mes fesses avant de ramener tes mains devant. Tu caresses ma fente par-dessus ma culotte. Je sens tes doigts faire des allers-retours pendant que nous poursuivons nos baisers. Mon souffle devient plus court quand tu glisses ta main à l’intérieur de ma culotte. J’écarte un peu plus les jambes et me rapproche du bord du bureau. Tu ressors ta main une seconde, passe tes doigts entre nos lèvres. Nous interrompons momentanément nos baisers le temps que je suce tes doigts, tu les mets ensuite dans ta bouche et les ressors plein de salive pour les remettre sur ma chatte. C’est encore meilleur comme ça.
Ta bouche quitte ensuite mes lèvres pour descendre tout doucement le long de mon menton, puis de mon cou, passe par le décolleté de ma robe, continue de descendre sur mon ventre. Tu me lances un petit sourire en progressant doucement. Ta bouche est maintenant sur ma culotte qu’il est grand temps d’enlever. Mais tu me maintiens les fesses, m’empêchant de bouger et tu poursuis tes baiser par-dessus le petit bout de tissu qui devient de plus en plus mouillé. Je sens ta langue titiller mon clitoris à travers ma culotte devenue presque inexistante. Tes baisers sont chauds et humides, c’est vraiment très agréable. Je vérifie que les stores isolent bien la pièce des regards, j’avais presque oublié que tous mes collègues étaient dans l’open space juste à côté. Rassurée, je mets ma main derrière ta tête et te caresse les cheveux pendant que tu continues tes mouvements de langue.
Tu enlèves ensuite ta tête un instant et me fais me relever à nouveau du bureau. Tu glisses tes mains de chaque côté de ma culotte et la fait descendre tout doucement le long de mes cuisses. Tu es agenouillé devant moi et tu observes le parcours de ma culotte avec la plus grande attention. Tes mains caressent mes jambes sur toute leur longueur avant d’arriver à mes chevilles, déposant le bout de tissu à mes pieds. Je recule d’un pas pour m’en débarrasser définitivement et remonte aussitôt sur le bureau. Je me place bien au bord et écarte les jambes pendant que tu approches ton visage de mon entrejambe. Je languis de sentir ta langue, mon désir est palpable.
C’est comme une délivrance quand je la sens enfin se glisser entre mes lèvres, de haut en bas. D’abord juste avec la pointe, puis sur toute sa longueur, dans un lent mouvement. Je soupire et remets ma main instinctivement derrière ta tête. Je crois bien que j’attire ton visage encore plus près de moi. Tes mains caressent l’intérieur de mes cuisses. Tes mouvements de langue se font plus vifs, tu me lapes de façon saccadée. Puis tu enfournes tout ton visage, pressant tes lèvres autour de mon clitoris, le suçotant, le mordillant. Mes jambes se raidissent sous tes assauts et mes mains se cramponnent au bureau. Tu fais des cercles du bout de la langue, en t’éloignant progressivement de mon clitoris pour faire redescendre un peu la pression. Mais je te demande de reprendre ce que tu faisais juste avant.
Tu me souris, satisfait de m’exciter autant juste avec ta langue. Et y retournes de plus belle, mettant toute ta fougue dans tes mouvements. Tu concentres ton attention sur mon clitoris encore un moment pendant que je pousse des petits gémissements que j’essaye d’étouffer avec ma main. Mon corps tout entier se raidit et je sens tes mains s’enfoncer dans la chaire de mes cuisses. Je laisse la vague de chaleur m’envahir pendant que ta langue poursuit son œuvre. Cet orgasme est d’une intensité incroyable, j’en ai le souffle presque coupé. Tu relèves ta tête et me regarde avec les yeux brillants et un grand sourire. Tu as besoin de reprendre ton souffle toi-aussi. Tu te relèves, poses un baiser sur mes lèvres et vas récupérer ton sac de courses que tu avais posé. Tu me laisses le temps de me relever du bureau et de redescendre ma robe avant d’ouvrir la porte en me lançant « ce soir c’est moi qui cuisine » en secouant ton sac avant de t’engouffrer dans le couloir longeant l’open space.
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